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L’ARNm vaccinal passe dans le placenta, selon une étude

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Démentant les affirmations des autorités sanitaires, une étude de l’Université de New York montre que l’ARN messager du vaccin Covid-19 pénètre dans le placenta et le cordon ombilical des femmes enceintes. Cette découverte fait suite à de nombreux autres signes alarmants concernant la baisse de natalité générale observée.

Nouvelle étape dans le dossier de la vaccination Covid des femmes enceintes : une étude publiée dans le Journal Américain d’Obstétrique et de Gynécologie et menée à l’Université de New York vient de démontrer que l’ARN messager (ARNm) peut se retrouver dans le placenta et le cordon ombilical des femmes enceintes.

Détails de l’étude
Les scientifiques ont analysé la présence d’ARNm synthétique du vaccin génétique Pfizer dans le placenta et le sang du cordon ombilical de deux femmes enceintes qui avaient reçu des doses de Pfizer et/ou Moderna peu de temps avant l’accouchement, peut on lire dans l’étude.

– La patiente n° 1, une femme de 34 ans, à 38 semaines et 4 jours de gestation, souffrait d’hypertension et a été vaccinée avec deux doses de vaccin Covid-19 de Pfizer et deux doses de rappel (Pfizer et Moderna). La dernière dose était un rappel Moderna administré deux jours avant l’accouchement par césarienne d’un bébé en bonne santé. Des échantillons du placenta, du sang maternel et du sang du cordon ombilical ont été prélevés après l’accouchement.

– La patiente n° 2, âgée de 33 ans, à 40 semaines de gestation, a eu une grossesse sans complication et a reçu deux doses du vaccin Covid-19 de Pfizer; la dernière dose a été administrée 10 jours avant l’accouchement par voie vaginale d’un bébé en bonne santé. Seuls des échantillons placentaires ont été prélevés après la naissance.

Le “vaccin” synthétique à ARNm ne reste donc pas sur le site d’inoculation et traverse la barrière hémato-fœtale.

Cette nouvelle met à mal le ton rassurant et les recommandations des autorités sanitaires concernant la vaccination Covid-19 des femmes enceintes.

Même limitée à deux patientes, cette étude remet en question l’innocuité de ces vaccins pour les femmes enceintes et leurs bébés et devrait inciter les autorités à réviser leurs recommandations actuelles et réaliser très rapidement une étude beaucoup plus vaste.

Comme pendant la mobilisation de 1914

De nombreux experts ont déjà tenté à plusieurs reprises d’attirer l’attention sur la baisse alarmante des naissances, en synchronie flagrante avec le début des campagnes de vaccination Covid-19, décalé de neuf mois.

En été 2023, le Pr Konstantin Beck, expert suisse en statistiques, s’exprimait sur un lien de causalité entre les vaccins Covid et la baisse brusque de natalité en Suisse, comparable selon lui à celle observée par la mobilisation pendant la guerre de 1914.

La variation est si nette qu’elle disqualifie les autres explications avancées: changement de comportement dû à la pandémie, santé psychologique, réduction de la fertilité.

Selon le Pr Beck, la cause de la baisse de la natalité est l’augmentation dramatique des fausses couches et des mort-nés, comme on peut l’observer dans les statistiques américaines, passée pourtant sous silence par les autorités et les “grands” médias (voir notre article) :

Le Dr Thorp, gynécoloque obstréticien avec 44 ans d’expérience dans les grossesses à risque, s’exprimait ainsi au sujet de l’augmentation spectaculaire du taux de mortalité foetale (vidéo disponible en fin d’article):

C’est la plus grande catastrophe médicale de l’histoire de l’obstétrique et de toute la médecine. Je témoigne que cette thérapie génique expérimentale injustifiée n’a JAMAIS été indiquée pendant la grossesse et a été perpétrée illégalement et avec des données falsifiées. Res ipsa loquitur. Les faits parlent d’eux-mêmes.

Plus proche de nous, c’est la gynécologue Laurence Kayser qui est montée régulièrement au créneau pour dénoncer l’effondrement de la natalité et parler de son expérience de terrain où elle constate que le spectre des troubles gynécologiques observés chez ses patientes vaccinées est très large.

Les études utilisées pour justifier la pratique remises en question

Dans un article paru il y a un an et intitulé “Controversée, la vaccination Covid des femmes enceintes reste prônée”, Covidhub exposait les biais des études que les autorités mettent en avant pour recommander la vaccination Covid-19 aux femmes enceintes.

Les autorités placent encore aujourd’hui les femmes enceintes dans les personnes à risques en se basant sur une étude réalisée en Écosse de décembre 2020 à octobre 2021. Or, pour le professeur suisse Pietro Vernazza, épidémiologiste réputé, avec une population immunisée à 99%, la situation n’est plus la même que celle de 2021 et il faut réévaluer le risque pour une femme enceinte de développer une forme grave. Le scientifique considère l’étude écossaise dépassée dans le contexte endémique actuel.

De plus, les données d’autres études, comme celles du Prof Shimabukuro, une fois réanalysées par des chercheurs indépendants, montraient que les taux de fausses-couches étaient 7 à 8 fois plus élevés que chez les femmes non-vaccinées et donc que les risques dépasseraient les bénéfices.

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