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«Ce n’est pas un hôpital… c’est un camp de concentration»

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Une infirmière américaine, membre d’American Frontline Nurses, a témoigné d’une réalité de terrain glaçante lors des auditions indépendantes, organisées le 24 janvier dernier par le Sénateur (républicain) du Wisconsin Ron Johnson.

Elle évoque par exemple le cas d’un enfant, vacciné la veille, et présentant tous les symptômes d’une attaque cardiaque. Pourtant, elle a dû argumenter durant 30 minutes avec le médecin d’urgence pour qu’il procède à un ECG car selon lui “les enfants de 10 ans ne font pas d’attaque cardiaque.” Or l’examen a révélé un infarctus aigu du myocarde. “Ce n’est pas possible” s’est obstiné le médecin. Ce à quoi l’infirmière a rétorqué : “Il a été vacciné hier, c’est totalement possible !”

Les patients pointés du doigt (patient shaming)

De manière générale, il existe selon elle une résistance des médecins, cliniques et hôpitaux à admettre que des patients sont hospitalisés à cause d’effets secondaires des vaccins “anti-Covid”, car s’ils le font, ils ne touchent pas de remboursements.

Au lieu de cela, les patients seraient pointés du doigt, victimes de patient shaming (ndlr : honte mise sur le patient) comme manifestant simplement de l’anxiété, et les autres causes éventuellement indiquées (neuropathies, syndrome de Guillain-Barré, etc.) ne sont pas mises en lien avec les injections.

Mais le problème ne s’arrête pas là.

(Source de la vidéo sous-titrée en français : fil Telegram Momotchiii)

Patients gravement négligés

Plus horrifiant encore, des patients en soins intensifs seraient gravement négligés : ils seraient privés de nourriture et/ou de bains pendant des jours, ne seraient pas retournés régulièrement et seraient isolés pendant des heures, “ce qui ne se pratique même pas dans les prisons, tant c’est considéré comme inhumain”, ajoute-t-elle.

“Vous seriez mieux traité dans un hôpital de campagne sud-américain”

Elle assène, sous des applaudissements et des exclamations approbatrices : “Je dis aux gens qu’ils seraient mieux dans un hôpita de campagne sud-américain que dans un hôpital de haut niveau aux Etats-Unis (…) Si vous me demandez mon avis, ce n’est plus un hôpital, c’est un camp de concentration”.

Voir l’intégralité des auditions sur Rumble (5h36) – en anglais :