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«Effets secondaires, la face cachée des vaccins»: un documentaire fouillé qui donne la parole aux victimes

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Par Isabelle Dessaux

Alors que les injections anti-Covid ont été inoculées à large échelle, on assiste à une émergence d’effets secondaires graves, ayant causé la mort, notamment d’enfants. Pourtant, nul n’avait été informé au préalable des conséquences possibles. A quels défis sont confrontées les victimes et leur famille? Ce film leur donne la parole, ainsi qu’à des spécialistes.

Pour sa sortie officielle, vendredi 11 février 2022, le film dédié aux victimes d’accidents vaccinaux, réalisé en partie grâce à un financement participatif, a été diffusé en direct par le magazine indépendant Nexus sur différents canaux en simultané.

Signé Raphaël Berland, le film retrace l’historique de la crise Covid, des multiples stratégies développées pour inciter tout un chacun et notamment les enfants à se faire injecter une substance pourtant en phase expérimentale, en passant par le florilège de stigmatisation médiatique de ceux qui ont refusé ces injections, sans parler des menaces et sanctions encourues.

Il aborde aussi la question épineuse des conflits d’intérêts de l’industrie pharmaceutique.

Le traité de Nuremberg interdit toute expérimentation non consentie

L’euro-députée Michèle Rivasi révèle que les contrats semblent avoir été rédigés par les laboratoires eux-mêmes. En cas d’attaque d’un citoyen suite à un décès dû au vaccin anti-Covid, ce sera aux Etats de payer les avocats, frais de justice et indemnités.

L’avocat Jean-Pierre Joseph rappelle que la Convention d’Oviedo interdit que quiconque soit contraint de participer à une expérimentation médicale, et que le traité de Nuremberg prohibe toute expérimentation non consentie.

Or c’est pourtant ce qui est imposé aujourd’hui dans plusieurs pays, corps de métier, etc.

La parole est ensuite donnée aux familles qui ont perdu un proche, dont des enfants, ainsi qu’aux victimes des injections anti-covid.

Déni médical et politique

Les associations venant en aide aux victimes d’accidents vaccinaux tentent d’alerter et d’informer le monde politique depuis des années. Une mère infirmière rapportait, lors de son  allocution à l’Assemblée nationale, le cas de sa fille qui a connu trois ans d’errance médicale avant d’aboutir au diagnostic de myofasciite à macrophages, suite à l’inoculation du vaccin Gardasil contre le papillomavirus.

Le corps médical n’est pas formé ni informé sur les risques possibles des effets indésirables des vaccins. Il est observé un déni du corps médical qui semble ne pas se soucier des répercussions et de la violence infligée aux victimes.

Le cardiologue Dr Julien Devilleger cite le témoignage d’infirmières auxquelles la consigne a été donnée de ne pas déclarer à la pharmacovigilance les cas d’effets indésirables des injections anti-Covid, vu que l’objectif était de vacciner tout le personnel.

Sous-déclaration des effets secondaires

Il existe un consensus scientifique sur le fait que seuls 10% des cas sont déclarés en pharmacovigilance.

L’avocat Jean-Pierre Joseph rappelle que 1000 morts ont été déclarés en France, des suites des injections anti-Covid, sur le site de l’Agence nationale de la sécurité des médicaments (ANSM). Or, ajoute-t-il, un essai clinique est stoppé en général quand on constate 50 décès.

Jean-Pierre Joseph cite le Dr Gérard Delépine, cancérologue, statisticien, qui a écrit plusieurs articles faisant état d’une véritable hécatombe vaccinale.

Débâcle médiatique dans le traitement des décès suspects

En plus de la difficulté de faire reconnaître le lien entre l’injection et la survenue de symptômes invalidants, voire la mort, les familles et victimes d’accidents vaccinaux, dénoncent aussi le comportement des médias, particulièrement éloquent dans le cas du décès de Maxime Beltra, 22 ans, le jour même de son injection.

Son père rapporte que Midi Libre a d’abord déclaré qu’il était décédé des suites de son allergie à la cacahuète, sans aucune preuve. Puis Var Matin a affirmé que l’autopsie n’avait rien donné… alors qu’elle n’avait lieu que le lendemain. Le diagnostic de myocardite a été établi par les médecins… et pourtant les médias l’ont remis en cause. Les familles s’interrogent en toute légitimité sur une possible manipulation, voire incompétence, des médias de masse.

S’agissant des recours juridiques des malades et familles des victimes, elles font face à la difficulté de trouver des experts indépendants.

Marche à suivre en cas de décès post-vaccinal d’un proche

Voici les recommandations de l’avocat Jean-Pierre Joseph en cas de mort d’un proche suite à une injection:

– demander rapidement une autopsie. Si l’hôpital refuse, faire une déclaration à la gendarmerie ou poste de police le plus proche, – demander l’intervention du Parquet. Contacter un avocat qui envoie un courrier recommandé aux pompes funèbres, à l’hôpital et au Parquet pour demander une autopsie. Dans ce cas, toutes les démarches sont bloquées, attendre les résultats.
– Faire la déclaration de pharmacovigilance.

Jean-Pierre Joseph rapporte que le site Eudravigilance fait état de 22’000 morts suite aux injections anti-Covid en Europe, 800’000 cas d’effets indésirables graves. La charge de la preuve revient en général à la victime, mais il existe une présomption de lien de causalité en jurisprudence.

Toxicité de la protéine Spike

Le Dr Robert Malone, inventeur de l’ARN messager, rappelle que le gène viral injecté force le corps à fabriquer des protéines «spike» toxiques, et que celles-ci peuvent causer des dommages permanents dans les organes vitaux, le cerveau, système nerveux, le coeur et système reproducteur, y créant des caillots sanguins.

Ce vaccin peut aussi déclencher des changements fondamentaux dans le système immunitaire et causer des dommages irréversibles. La balance bénéfice-risque ne leur étant pas du tout favorable, il recommande de ne pas administrer cette injection aux enfants.

Il reste bien du chemin à parcourir pour que les victimes et leur famille puissent être entendues, reconnues et accompagnées.

La projection du film a été suivie d’un échange animé par un intervenant du magazine Nexus, en présence du réalisateur Raphaël Berland, du Professeur Christian Perronne, ayant présidé la politique vaccinale à l’OMS pendant quinze ans, infectiologue à l’hôpital de Garches, et du Dr Jean-Pierre Eudier, président de la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations.

Bande-annonce :

Les différentes associations à avoir participé au projet: la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV), le Réseau de Victimes des Accidents Vaccinaux (REVAV), Verity France – collectif de familles de victimes des vaccins anti-covid, l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante (AIMSIB) et l’Association Liberté Information Santé (ALIS).

Pour voir le film: