Injections Pfizer: l’escroquerie du siècle?

Telle est la conclusion d'un regroupement de 500 médecins, scientifiques et soignants canadiens, présentant une synthèse des irrégularités dans les "essais cliniques" conduits par le laboratoire multirécidiviste en fraudes et corruptions diverses. Au final, la firme aura fait "plus de mal que de bien".

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par Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, référent en santé publique de Covidhub.ch

La Canadian Covid Care Alliance (Alliance canadienne pour la prévention et la prise-en-charge de la Covid) vient de rendre publique une vidéo et une présentation Powerpoint listant les innombrables irrégularités et falsifications des essais lors de la mise au point et du suivi des “vaccins”.

Les lectrices et lecteurs de Covidhub.ch n’en seront pas surpris, puisque nous avons publié ces différents éléments au cours des mois écoulés, à mesure qu’ils étaient mis en lumière. La plus-value de l’analyse de la CCCA est qu’elle réalise une compilation exhaustive de ces anomalies.

C’est rien moins que la totalité des conclusions avancées par Pfizer qui est erronée selon les auteurs : l’efficacité réelle (absolue) du “vaccin génique” est en réalité inférieure à 1%. L’efficacité relative, corrigée des manipulations relevées, atteint au mieux 20% à 30%, un score insuffisant à obtenir une autorisation selon les normes en vigueur. Les atteintes à la santé et les décès sont significativement plus nombreux dans le groupe des “vaccinés” que dans le groupe-témoin. Les données et cohortes sont manipulées pour dissimuler la réalité et empêcher tout suivi au-delà de la dérisoire période de deux mois ayant servi à affirmer à tort que les “vaccins” étaient “sûrs et efficaces”.

Bref, une fraude systématique, qui aurait dû conduire au rejet de la demande d’autorisation urgente de ce produit ainsi qu’un refus de publication des articles concernés par les revues médicales, en l’occurrence le New England Journal of Medecine

Ce sera le travail des tribunaux de comprendre comment ces produits ont pu passer tous les “filtres de sécurité”. Mais aussi comment, dans les différents pays, des autorités sanitaires sensées être capables de lire la littérature scientifique ont pu les cautionner.

Une longue liste d’irrégularités :

Les irrégularités dans la conception et le déroulement des essais cliniques

– Données démographiques trompeuses

– Levée de l’aveuglement de l’essai randomisé

– Groupes de contrôle inadéquats

– Absence de suivi des biomarqueurs

– Critères d’évaluation clinique erronés

– Réduction de la propagation non-testée

– Testing subjectif

– Données manquantes ou perdues de vue

– Les vraies conclusions occultées : risque accru de maladie et décès chez les vaccinés

– 12-15 ans : tous les risques et aucun avantage

– Défaut de l’essai sur les 12-15 ans : non-déclaration d’effets indésirables graves

– Étude à 6 mois : manipulation des données par mixage des cohortes

– Conflits d’intérêts majeurs parmi les auteurs du rapport Pfizer

– Modification de la définition du terme “vaccin” par le CDC (Centers for Disease Control and Prevention)

 

Afin de permettre à chacune et chacun de prendre connaissance de ces informations essentielles, nous re-diffusons ici la vidéo de présentation de l’Alliance canadienne pour la prévention et la prise-en-charge de la Covid doublée en français, ainsi que le pdf de la présentation traduite en français. La traduction de ce dernier document ayant été réalisée par une application, il y figure quelques contresens dont le plus frappant est sans doute dans le titre : par les “vertus” de l’intelligence artificielle, “More Harm Than Good” qui se traduit par : “plus de mal que de bien” est ainsi devenu : “plus de dommages trop bien”. Singulier contresens. Si le but des vendeurs de ce produit était de causer des dommages, la fausse science produite le servirait efficacement.

 

 

  • Télécharger la présentation originale en anglais au format pdf : cliquer ici.
  • Télécharger la traduction en français au format pdf : cliquer ici.
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