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Le paracétamol met notre cerveau en danger

Cette molécule, massivement recommandée aux malades du Covid comme seul "remède" avant une éventuelle hospitalisation, était déjà connue pour entraîner des lésions cérébrales graves, notamment chez les bébés fraîchement vaccinés.

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Recommandé massivement pour soulager les symptômes du covid, le paracétamol avait déjà une longue liste d’effets dangereux avérés. Une vidéo du chercheur américain William Parker nous apprend que la pratique courante qui consiste à en donner à des enfants de 12 à 18 mois après l’administration du vaccin ROR, peut avoir pour conséquence d’endommager leur cerveau.

Parker se base sur les conclusions du Dr Steve Schultz, un scientifique américain qui a recherché 17 ans durant les causes de l’autisme de son fils. 

Le Professeur Montagnier avait lui aussi mis en garde contre l’effet aux conséquences potentiellement désastreuses de cette molécule sur la barrière hémato-encéphalique. Ceci serait également vrai pour de jeunes adultes, dans des situations en lien avec des vaccinations.

Un filtre important

La barrière hémato-encéphalique est considérée par certains comme étant le tissu le plus protecteur du corps humain. Cette couche spéciale de cellules intriquées, protège en temps normal le cerveau d’agents pathogènes et de toxines, tels les métaux utilisés comme adjuvants vaccinaux.

En 2017, le Pr Montagnier avait évoqué lors d’une conférence (voir extrait en fin d’article) les dégâts que peut causer le paracétamol si on l’administre à des bébés, entre autres car “il peut causer des accidents graves sur le foie et le cerveau en ouvrant la barrière hémato-encéphalique“.

Ce mécanisme d’action pourrait également expliquer de nombreux cas de lésions cérébrales non élucidés chez les jeunes adultes, notamment en lien avec le vaccin contre le papillomavirus, qui contient de l’aluminium.

Paracétamol: facteur déclencheur de l’autisme

William Parker évoque l’histoire du Dr Steve Schultz, un chercheur qui, pour comprendre la cause de l’autisme de son fils et face à un corps médical échouant à lui donner des réponses, a repris des études pour les trouver par lui-même.

17 années et un doctorat plus tard, sa conclusion est sans appel: ce qui avait perturbé le développement normal du cerveau de son fils n’était pas le vaccin ROR mais les fortes doses d’acétaminophène – plus connue sous l’appellation ‘paracétamol’ – qu’il lui avait administrées pour traiter sa réaction au vaccin ROR. Ce phénomène est décrit dans son livre, Understanding Autism : My Quest for Nathan”, publié en 2013.

“Le Dr Schultz a découvert que si vous avez une mauvaise réaction au ROR et que vous donnez du paracétamol à votre enfant, vous avez 20 fois plus de risques qu’il soit atteint d’autisme”. William Parker

Vidéo de l’entretien de William Parker (sous-titrée en français, durée 1 min 18)

Un chercheur engagé

William Parker est docteur en chimie depuis 1992. Il a également étudié la biologie. Après 27 années et plus de 140 articles évalués par des pairs, il a pris sa retraite de son poste à l’université de Duke. Il est connu pour avoir découvert la fonction de l’appendice humain.

Au cours des deux dernières décennies, il s’est concentré sur les facteurs qui affectent négativement la fonction immunitaire dans les pays à revenu élevé. Selon lui, ces facteurs sont à la base de nombreux problèmes de santé actuels, notamment les affections allergiques, auto-immunes et neuropsychiatriques. Il a fondé un institut de recherche qui se penche sur ces questions, le WP Lab.

120 appellations différentes

Le paracétamol est également commercialisé sous de nombreuses autres appellations, presque 120 au total à travers le monde, les plus connues étant Dafalgan, Doliprane et Panadol (voir liste complète). On le retrouve également dans la composition de nombreux anti-douleurs. Rien qu’en Suisse, la substance se retrouve dans 12 médicaments différents, contre 4 en France et 3 en Belgique.

Extrait vidéo du Prof. Luc Montagnier
(source – l’extrait ci-dessous est à ~ 50:20 min)

 

Crédit: article inspiré d’une contribution publiée par Anaïs Tea