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Trois piliers du covidisme s’effondrent

Le virus a été créé à Wuhan, les masques sont inutiles et l'immunité naturelle est la meilleure. Contrairement aux affirmations officielles qui ont justifié l'autoritarisme de la réponse mondiale à l'épidémie.

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(Covidhub) Le virus Sars-CoV-2 sort probablement d’un labo chinois, les masques obligatoires n’ont eu aucune utilité et l’immunité naturelle est la meilleure protection. Ceux qui le disaient il y a trois ans étaient taxés de complotistes. Si on les avait écoutés, la face du monde en aurait été changée.

Dans le monde anglo-saxon et en Allemagne, les révélations affluent sur l’inanité des affirmations qui ont justifié le récit officiel d’une pandémie hyper-dangereuse qu’il fallait juguler par des mesures draconiennes. Pour l’instant, les médias francophones restent très discrets sur la question.

Covid, masques, immunité naturelle: trois piliers du covidisme s’effritent

1. Le virus sort probablement d’un labo

Il est probable que le virus soit sorti d’un laboratoire chinois à Wuhan, selon le Département américain de l’énergie. Le Wall Street Journal rapporte que dans un rapport récent, le Département s’est aligné sur les conclusions du FBI, qui lui aussi pointe dans ses conclusions les responsabilités chinoises dans un accident à l’origine de la pandémie.

La communauté américaine du renseignement reste toutefois divisée sur la question et accorde à l’hypothèse une confiance modérée. Quatre autres agences, ainsi qu’un groupe national de renseignement, estiment toujours que la pandémie est probablement le résultat d’une transmission naturelle et deux autres sont indécises.

Les milieux du renseignement se lézardent

Interrogé sur le dernier rapport sur CNN le 26 février, Jake Sullivan, conseiller en matière de sécurité nationale, a reconnu que la communauté du renseignement américain a des opinions diverses sur les origines de la pandémie :

«Certains éléments de la communauté du renseignement sont parvenus à des conclusions d’un côté, d’autres de l’autre, et un certain nombre ont déclaré qu’ils n’avaient tout simplement pas assez d’informations pour être sûrs […]. Pour l’instant, aucune réponse définitive ne se dégage du monde du renseignement.»

Le ton de la classe médiatique était beaucoup plus tranché en 2020 où toute opinion suggérant une origine autre que zoonotique du virus était étiquetée comme «complotiste».

La recherche scientifique à l’époque est alors victime de l’anti-trumpisme dominant : parce que le président honni des élites progressistes avait suggéré une idée aussi sulfureuse, il fallait immédiatement la labelliser comme folle, complotiste ou d’extrême droite et ostraciser ceux qui osaient penser en dehors du cadre de l’autoritarisme sanitaire.