Vaccin et décès des jeunes: le Sénat français saisi d’une pétition

Par Thibaut Masco, Santé Non Censurée

En début de semaine, un article de France Soir a attiré mon attention : “Surmortalité des jeunes en Europe depuis l’été : pourquoi le Sénat refuse-t-il de publier les données ?”¹. Au cœur de cette enquête explosive, vous l’aurez compris, l’étrange surmortalité des jeunes en Europe depuis l’été 2021^{2 3 4}.

A la base de ce constat se trouve le site Euromomo (European mortality monitoring), qui regroupe les données liées à la mortalité de tous les pays européens et permet de suivre son évolution semaine par semaine.

Or depuis l’été 2021, la tranche des 15-44 ans n’affiche plus des taux de mortalité dans la norme. Elle flirte de manière quasi continue avec la zone de surmortalité, comme vous pouvez le voir dans le graphique ci-dessous, qui va de janvier 2017 à aujourd’hui⁵:

Afin de vérifier ces résultats, l’auteur de cette enquête a réalisé plusieurs calculs de probabilité et de statistiques pour finir par retomber sur ces mêmes observations, quels que soient les modèles utilisés⁶.

Les barres rouges indiquent une surmortalité, les barres vertes une sous-mortalité, tandis que la courbe bleue représente une tendance de 6 semaines.

Regardez les courbes rouges indiquant la surmortalité, les jeunes européens sont effectivement davantage décédés à partir de l’été 2021. “Mais qu’est-ce qui a changé ?”, demanderons-nous naïvement…

Les pics de mortalité pourraient correspondre aux pics de vaccination…

94 % de personnes en-dessus de 12 ans ayant reçu au moins une dose de vaccin anti-covid, plus de 148’000 effets secondaires recensés, 17’000 décès signalés par des professionnels de la santé… et le Sénat qui refuse étrangement de publier le nombre officiel de morts, par statut vaccinal et par tranche d’âge, survenus après les campagnes de vaccination⁷

Vous commencez à faire le lien ?

Afin d’être sûr de son hypothèse, l’auteur de cette enquête a voulu comparer les pics de vaccination (données fournies par le site de ECDC, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies⁸) avec les pics de mortalité observés sur Euromomo… et surprise !

Ils correspondent, et même très bien⁹ :

Portugal

Pologne

Hongrie

Et cela vaut pour toutes les tranches d’âge !
Regardez ici les résultats en France pour les 50-59 ans :

Ou encore ici en Autriche pour les 60-69 ans :

Dans tous les cas, on voit que les pics de vaccination correspondent aux premiers signes de surmortalité, autrement dit, il s’agit des personnes trop faibles qui pourraient être décédées après la première vaccination.

Or, la mortalité ne baisse pas par après, signe que la vaccination a entraîné un phénomène de surmortalité continue, faisant des sursauts – et donc des morts – à chaque nouvelle dose administrée.

Des concordances étranges

Pourtant, ce phénomène inquiétant n’est pas énoncé pour la première fois : de nombreuses études, belge¹⁰, américaine¹¹, israélienne¹² ou encore allemande¹³, ont déjà conclu aux résultats et tenté de tirer la sonnette d’alarme… sans résultat.

Robert Malone, considéré comme l’un des inventeurs des vaccins à ARN messager¹⁴, s’opposait lui aussi à la vaccination des plus jeunes, fin 2021¹⁵. Depuis, son compte Twitter a été supprimé¹⁶ et puis plus rien…

Certes, cette concomitance ne veut pas dire qu’il y ait lien de causes à effets… Mais cela signifie a minima qu’il faut s’interroger et mener l’enquête. Pour cela il faut accéder aux données afin de déterminer si les “jeunes” vaccinés ont connu une mortalité supérieure aux non-vaccinés…

En l’absence d’une telle étude, le silence ou plutôt le refus du Sénat n’en est que plus dérangeant. Qu’ont-ils donc à cacher de si terrible ? N’est-il pas grand temps que nous sachions la vérité sur ce que la vaccination a réellement eu comme impact sur notre santé ?

Thibaut Masco de Santé Non Censurée

P.S. : Vous savez que la transparence de l’information est primordiale pour moi. C’est pour cela que je vous ai transmis toutes les données que j’avais à propos du Covid.

Et c’est aussi pour cela que je demande aujourd’hui à nos institutions une transparence totale sur la mortalité des moins de 45 ans en fonction du statut vaccinal avec ma pétition.