Violences policières contre les jeunes en Belgique : “La Boum 2 : est-ce ça le monde dans lequel nous élevons nos enfants ?”

Partager

 

La docilité de la jeunesse face aux mesures de contraintes dites sanitaires a surpris beaucoup d’observateurs. Les explications avancées par nos gouvernants les ont fortement responsabilisés (culpabilisés disent certains) et ils ont accepté une mise sous cloche de leurs vies et la restriction, parfois extrême, de leur liberté.

Bien des experts (psychiatres, sociologues et psychologues) ont mis en garde contre les impacts de ces mesures sur la santé psychique, relationnelle et sociale des enfants et des jeunes. Et nous voyons en effet après une année une vague de détresse sans précédent faite de dépressions, de troubles anxieux et hélas de suicides.

De rares penseurs (comme le philosophe André Comte Sponville) s’étaient interrogés sur la légitimité de faire peser sur ces être humains en construction le poids de mesure visant à protéger (si tant est qu’elles l’aient fait) l’existence des personnes du très grand âge (la médiane des décès dans les pays européens aura été alignée sur l’espérance de vie.

Il faut désormais ajouter à cela une violence répressive spectaculaire contre des regroupements de jeunes en plein air, comme cela a eu lieu à de nombreux endroits dont le Bois de Cambre à Bruxelles.

Alors qu’on observe une absence de contaminations dans de tels rassemblements en plein air (avec ou sans masques), l’état belge a déployé un impressionnant dispositif de guerre et déployé une violence qui a choqué de nombreux observateurs.

Dans le média La Libre, Mme Virginie Van Lierde (Co-fondatrice de Trace ton Cercle, une association dont le but est d’éviter les débordements) livre un impressionnant témoignage…

Lien vers l’article : cliquer ici.

Nous soutenir
Votre don permet à CovidHub.ch de rester gratuit et d’assurer sa qualité éditoriale.